Archives de : cyrilkretzschmar

  1. La NEF revisite le crowdfunding

     

    L’établissement vient de lancer officiellement sa plateforme web de finance participative.

    La Nef vient de lancer officiellement sa plateforme web de finance participative, baptisée Prêt de chez moi. Le but : proposer à des épargnants, pas forcément sociétaires de la société coopérative de finances solidaires, de contribuer au développement de l’économie locale, en soutenant des porteurs de projets dont les besoins se situent en dessous de 15 000 €.

    « Il s’agit de la première plateforme de crédit participatif gérée par un établissement financier agréé », se félicite-t-on du côté de la coopérative. Prêt de chez moi se distingue ainsi d’un service de crowdfunding classique. La plateforme en reprend l’esprit, mais dans un cadre plus « sécurisé ». Pour la Nef, ce système représente une opportunité de répondre aux demandes de inancement situées entre 3 000 et 15 000 €. « Aujourd’hui, il est plus facile de mobiliser 100 000 ou 200 000 € que 5 000 ou 10 000 € », note par ailleurs Cyril Kretzschmar, conseiller délégué du Conseil régional, à la nouvelle économie, nouveaux emplois, artisanat et à l’économie sociale et solidaire, la Région Rhône-Alpes étant partenaire du projet.

    Sur la page d’accueil de Prêt de chez moi, deux boutons principaux : contribuer et emprunter. Les porteurs de projets peuvent soumettre leur dossier, mis éventuellement en ligne après une analyse par la Nef et une rencontre avec un sociétaire-bénévole. Les contributeurs potentiels, eux, peuvent découvrir les projets (à forte utilité sociale ou environnementale) en recherche de financement et valider leur participation ou poser des questions.

    Les contributions se font sous forme d’épargne affectée. Cette épargne rémunérée est en partie risquée : le contributeur peut choisir le niveau de risque, de 25 % à 75 %. La Nef participe à chaque projet. « Nous ne voulions pas faire reposer tout le risque sur les épargnants. Faire perdre à quelqu’un l’intégralité de sa contribution ne nous semblait pas très éthique », explique Frédéric Moukarim, directeur du développement et membre du directoire de la Nef. Mais la sélection attentive des projets en amont doit permettre d’éviter les déconvenues.

    Le premier projet, en cours de financement, est une épicerie bio en Haute-Savoie. Une vingtaine de projets pourraient arriver sur la plateforme la première année, puis 50 la deuxième et une centaine par an dès la troisième année. Prêt de chez moi, lancée d’abord en Rhône-Alpes, a vocation à s’étendre au niveau national.

    Pierre-Jean Nicot – article publié dans le Tout Lyon le 8 juin 2013

     

    Plateforme « Prêt de chez moi » : http://www.pret-de-chez-moi.coop/

    La plateforme de finance participative de la Nef - Prêt de chez moi

  2. La transition énergétique en débat hier à Valence Drôme-Ardèche, terres d’exemples

    Article du Dauphiné Libéré Isère – Dimanche 2 juin

    Des exemples concrets pouvant conduire à une transition énergétique réussie, avec des retours d’expériences puisées dans les territoires de la Drôme et de l’Ardèche : c’était le programme d’hier, au parc des Expositions de Valence. A l’invitation de l’euro-députée Michèle Rivasi et d’Europe Écologie – Les Verts Rhône-Alpes et Drôme, un forum était en effet organisé dans le cadre du débat national sur la transition énergétique. L’occasion pour plusieurs intervenants calés en la matière, de faire part de leurs propres initiaves, prouvant par là même, « qu’il y a des solutions sur le terrain », comme l’indiquait Michèle Rivasi à la mi-journée. Solutions pouvant même conduire à une réindustrialisation du pays « autour de cette transition énergétique » notait-elle encore.

    La transition énergétique argument de réindustrialisation du paysPlus “simplement”, et à la portée de tous, l’exemple des familles à énergie positive est révélateur. « 1500 familles de la Drôme ont réussi, sans investissement, mais en changeant seulement leurs habitudes, et sans toucher à leur confort, à baisser de 20 % leur consommation énergétique ». Un plus pour l’environnement, évidemment, mais aussi pour leurs comptes en banque, puisque cela représente environ 300 euros par an d’économie.

    Cyril Kretschmar, conseiller délégué aux nouveaux emplois pour la Région, soulignait l’importance de « créer de nouvelles richesses », et davantage encore d’emplois « verts ou verdissants » en Rhône-Alpes. Non sans proposer aux métiers existants de se renouveler, grâce à des formations adaptées. Comme par exemple dans le bâtiment. Rénovation, éco-construction, la transition énergétique peut devenir un véritable argument de revalorisation et séduire ainsi de jeunes gens à s’engager dans ce chemin expliquait la directrice adjointe de Néopolis.

    L’après-midi s’est poursuivie avec deux tables rondes :”industrie nucléaire, quelle reconversion pour créer de l’emploi ?” et “Comment financer la transition énergétique”. Avant une conclusion qui mêlait bonnes et mauvaises nouvelles… le tout saupoudré d’une bonne dose d’humour de la part de l’ancien ministre Yves Cochet (membre du conseil national du débat sur la transition énergétique).

    Michèle RIVASI et fessenheim

    Après avoir évoqué la position de l’Europe en matière de transition énergétique, l’euro députée a encouragé l’auditoire à faire pression sur les députés PS afin d’obtenir la fermeture de la centrale de Fessenheim. « Même si F. Hollande s’est engagé à diminuer la part du nucléaire […] aujourd’hui il n’y a pas de volonté politique du PS de dire à Henri Proglio (directeur d’EDF) de fermer la centrale » estime-t-elle. « Or, si ce n’est pas EDF qui le décide, mais que cela provient d’une décision politique, alors il faudra 4 ans pour que ça aboutisse après dossier, enquête publique et décret […]» Sans oublier, « les 1000 personnes pour qui il va falloir trouver des alternatives à l’emploi »…

    Yves cochet et les transports

    Pas très encourageant Yves Cochet… En 2028 a-t-il dit, « les pics mondiaux des énergies fossiles (pétrole, gaz et charbon) seront dépassés ». Quant au déclin des productions, il devrait démarrer entre 2015 et 2025. Aussi les mesures à prendre pour cette fameuse transition énergétique obligatoire sont nombreuses et les scénarii envisagés dans le cadre du débat national pour le moins “variés”… mais pas toujours crédibles selon lui. Et interpellant le Premier ministre qui était la veille à Valence, « une des mesures en matière de transports, efficace en matière d’économie d’énergie, de gaz à effet de serres et de sécurité, serait de baisser la vitesse autorisée à 110 km/h sur autoroute et 70 km/h sur route… Et ça, Jean-Marc Ayrault peut le décider, par décret, en 24 heures ! »

    https://cyrilkretzschmar.eelv.fr/agenda-eelv/#forum-solutions-locales-pour-une-energie-durable

  3. Projet de loi sur l’ESS. Encore un petit effort pour vraiment changer d’échelle !

    Passée encore relativement inaperçue en ces temps de débats matrimoniaux, le projet de loi sur l’économie sociale et solidaire arrive sur les bureaux du Conseil des Ministres en ce mois de juin, avant de venir sur les bancs de l’Assemblée à l’automne, espérons le. Cette loi, attendue par beaucoup, sera la première du genre en France, alors que l’Espagne, la Belgique, la Slovénie et bientôt le Québec se seront déjà dotés de telles dispositions. Cette lecture critique du projet de loi est issue d’un travail collectif de différents élus et militants écologistes, auquel j’ai contribué.

     

    Le développement de l’ESS, inscrit dans les engagements du Président Hollande, est un des éléments importants de la transition écologique de l’économie. Contribuant à la réponse à des besoins sociaux non ou mal couverts, levier de la relocalisation des activités et de l’emploi, support de nombreuses expériences de développement durable, l’économie sociale n’est pas qu’un supplément d’âme pour l’économie conventionnelle. C’est un vrai moyen de transformation pour toutes les activités humaines, face à une crise globale de nos méthodes classiques de développement. Cette première loi sur l’ESS peut être ainsi le signe fort d’une réelle ambition politique, visant à produire, échanger, entreprendre autrement. Le compte n’y est pas totalement aujourd’hui, et malgré le volontarisme de Benoît Hamon et de son équipe, le projet de loi actuel doit être amélioré.

     

    Le projet de loi propose tout d’abord une définition du champ de l’ESS, à travers, classiquement, le statut des structures qui la composent (associations, coopératives, mutuelles, fondations) ; mais plus ambitieux, elle vise à intégrer également dans ce champ les structures, quel que soit leur statut, qui sont motivées, bien au-delà du profit, par l’utilité sociale, et ceci à travers une gestion centrée sur l’intérêt de l’activité (bénéfices réinvestis en interne, réserves impartageables). La frontière quelque peu fermée de l’ESS s’ouvre largement à travers une telle définition et de nombreuses entreprises de statut dit conventionnel (SARL, SA, etc…) pourront prétendre demain à cette qualité. C’est une bonne nouvelle si ceci permet le décloisonnement entre ces différents pans de l’économie ; c’est une mauvaise nouvelle si le législateur n’arrive pas à poser une définition claire et ambitieuse de l’utilité sociale.

     

    A ce titre, l’actuel projet de loi se limite sans doute trop fortement à une définition de l’utilité sociale se limitant à l’insertion sociale seule ; les débats parlementaires devront élargir la notion à des enjeux tels que cités par Jean Gadrey : la réduction des inégalités économiques, la solidarité et la sociabilité, le développement humain durable permettant une réduction de notre empreinte environnementale. Il ne faudra pas oublier non plus une des qualités essentielles de l’ESS, qui la distingue souvent radicalement des autres formes d’entreprendre : son caractère démocratique. Si certaines structures de l’ESS ne sont clairement pas des modèles dans ce domaine, peu d’entreprises conventionnelles partagent vraiment le pouvoir en leur sein.

     

    Le projet s’appuie ensuite sur l’innovation sociale caractérisant les ambitions de l’ESS. Fondée sur la définition communément admise en Europe de l’innovation sociale (répondre à une demande nouvelle correspondant à des besoins sociaux non ou mal couverts), la proposition ouvre à de larges perspectives de soutien public et privé pour l’économie sociale. L’ innovation sociale amène en effet souvent l’ESS à rencontrer des « difficultés à en assumer le financement intégral aux conditions du marché ». Mais, alors même que la notion d’innovation sociale pourra ainsi jouer un rôle central dans les futurs régimes d’aide publique, ses critères et modalités d’évaluation sont encore très flous. Il faudra que le monde de la recherche, les économistes et sociologues, les acteurs politiques et institutionnels, la société elle-même dans son ensemble, s’emparent largement de ce travail de définition collective de l’innovation sociale. Lorsque l’innovation sociale sera autant prise au sérieux que l’innovation technologique, l’ESS aura fait un grand pas.

     

    La loi projetée, au-delà de nombreux articles touchant à l’organisation et au rôle des acteurs (CRESS, monde coopératif notamment), ouvre des perspectives intéressantes sur le financement de l’ESS et sur la reprise d’entreprise par les salariés. Elle établit le principe d’un reporting régulier de la Banque Publique d’Investissement et, au-delà, de l’ensemble des banques françaises, relatif à leurs investissements dans l’ESS. Plusieurs alertes ont déjà été lancées sur le risque, pour la BPI, de se détourner clairement de l’économie sociale. Un rappel législatif ne sera sans doute pas inutile, comme le sera aussi le soutien à la commande publique orientée vers l’ESS, tel que le propose la loi. Le projet néglige en revanche d’autres leviers potentiels de développement financier de ce champ que sont la mobilisation de l’épargne, et notamment l’épargne salariale et de proximité, la mobilisation des caisses de retraite, les fonds de dotation, la fiscalité ou encore les monnaies complémentaires. L’invention a été sans limite du coté des produits financiers spéculatifs, depuis les junk bonds jusqu’aux subprimes ; cette capacité d’invention en matière d’ingénierie financière mérite d’être mieux mobilisée pour le compte de l’innovation sociale !

     

    En matière de reprise d’entreprise par les salariés, la loi crée un devoir d’information auprès des salariés en cas de cession de leur entreprise. Cette mesure est très positive et ne peut que faciliter les efforts engagés dans ce domaine, notamment en Rhône Alpes, pour aider les salariés à devenir propriétaires de leurs entreprises par la voie coopérative. Toutefois, comme nous l’avons éprouvé nous-mêmes autour du dossier SET en Haute Savoie, ce sont les préjugés des juges du commerce, des syndics de liquidation, des experts comptables ou des avocats vis-à-vis de l’entreprenariat salarié qu’il faut aussi faire évoluer.  L’ESS, comme l’économie conventionnelle, a besoin de capitaux, de sociétaires et d’entrepreneurs salariés ; elle doit aussi faire plus fortement émerger en son sein des entreprises sociales de taille intermédiaire, des ETI – S !

     

    Enfin le projet actuel est très frustrant concernant l’organisation territoriale de l’ESS. Dans l’attente des lois sur la décentralisation, les orientations dans ce domaine sont très légères. Tout au plus comprend t-on que le Ministre Hamon souhaite que l’Etat se dote d’une administration spécifique pour l’ESS, et que les démarches de contractualisation sur les politiques ESS se développent, à l’échelle des Régions comme des intercommunalités. Gageons que le législateur saura éviter les démons jacobins du tout Etat et s’inspirer des pratiques développées sur les territoires depuis près de 10 ans : l’intégration de l’ESS dans certains Contrats de Projet Etat Région et Stratégies régionales de développement économique, la signature de contrats régionaux ou territoriaux de développement de l’ESS entre l’Etat, les collectivités et les acteurs de l’ESS… Ces expériences sont toutes positives, évaluées et appropriables ; il appartient aux partenaires des territoires de mieux les faire connaître, mais aussi à l’Etat de mieux les appréhender pour inspirer le futur cadre de développement de l’ESS.

     

    Une future loi sur l’économie sociale en France représente une vraie opportunité pour la transition écologique de l’économie. A nous ensemble, avec les députés, de lui donner cette vraie dimension !

     

     

    Cyril Kretzschmar, conseiller délégué à la nouvelle économie, aux nouveaux emplois, à l’artisanat et à l’économie sociale et solidaire, Région Rhône Alpes.

    Mai 2013

  4. 2èmes Rencontres régionales de l’économie de proximité

    La Région Rhône-Alpes organise le mardi 18 juin prochain à Lyon (Hotel de Région) les 2èmes Rencontres régionales de l’économie de proximité.

    Programme et inscription ici : http://www.rhonealpes.fr/903-2emes-rencontres-regionales-de-l-economie-de-proximite-du-concept-a-l-action-.htm

    Le Conseil Régional Rhône-Alpes a fait de l’économie de proximité un des deux enjeux majeurs de sa stratégie régionale de développement économique et d’innovation 2011-2015, et a adopté en décembre 2012 une délibération pour soutenir l’économie de proximité en Rhône-Alpes et encourager les acteurs en Rhône-Alpes à porter un autre regard sur le développement économique local.

    Réunissant au sein des territoires artisanat, commerce, acteurs de l’économie sociale et solidaire, et très petites entreprises à base locale, l’économie de proximité est une des clés du développement en Rhône-Alpes. Par le caractère non délocalisable de sa production et de ses emplois, par sa vocation à répondre aux besoins humains des personnes présentes sur le territoire, l’économie de proximité peut contribuer à atténuer les soubresauts de la vie économique, mais aussi apporter une réponse aux défis que constituent la lutte contre le chômage, l’ampleur des évolutions démographiques et des changements comportementaux des consommateurs, et la préservation de l’environnement.

     

    Les 1ères Rencontres de l’économie de proximité avaient rassemblé en mai 2012 plus de 150 participants.

    Voici le pré-programme des 2èmes Rencontres  !

    9h30 – 10h15             Ouverture de la journée – Salle des Assemblées

    par Cyril Kretzschmar, Conseiller régional délégué à l’emploi, l’économie, économie sociale et solidaire et l’innovation sociale et le représentant de l’Etat. Points de vue institutionnels des membres du comité de pilotage de la démarche régionale économie de proximité (CCIR, CRMA, CRA, CRESS, Plate-Forme régionale développement rural et Aradel).

     10h15 – 11h15           Table ronde des Territoires – Salle des assemblées

    « Représentation, gouvernance, ingénierie : le point sur les trois aspects clés de la démarche IMPL »

    Rappel sur les concepts clés de l’économie de proximité

    Témoignages de 3 territoires :

    + Faucigny

    + Ardèche méridionale 

    + Pays du Bugey

     

    11h30-13h00              Ateliers thématiques – Salles de commission

    Pour chaque atelier : témoignages d’experts et travaux en groupes sur la représentation commune du projet et le lien avec l’économie de proximité, les conditions pour une meilleure gouvernance du projet et les facteurs clés pour passer de l’idée à l’action.

    + Atelier 1 : La coopération inter-entreprises

    + Atelier 2 : Les circuits de proximité et la transition énergétique

    + Atelier 3 : Explorer une filière, un patrimoine pour créer de nouvelles activités

    + Atelier 4 : Quel nouveau modèle immobilier pour les entreprises de l’économie de proximité ?

    + Atelier 5 : Mobiliser l’épargne locale pour financer l’économie de proximité

    + Atelier 6 : Le management de proximité (centre-ville, regroupement de communes) : les structures partenariales qui fonctionnent

     

    14h30 – 16h30           Restitution des ateliers et Regard Croisés  – Salles des Assemblées

    Bernard Pecqueur, Professeur à l’Université Grenoble 1,

    Christophe Chevalier, PDG du Groupe Archer,

    Jean-François Caron, Président de la Commission « Transformation Ecologique et Sociale » de la Région Nord-Pas de Calais.

     

    16h30  Clôture de la journée – Salle des Assemblées et Rapport d’étonnement

     

  5. Rencontre régionale ESS + Culture = réalité augmentée !

    La Nacre (agence régionale du spectacle vivant) et la Chambre Régionale de l’économie Sociale et Solidaire (CRESS), en partenariat avec la Région Rhône-Alpes, proposent le 17 juin prochain à Lyon (Hôtel de Région) une journée de réflexion, de prospective et de partage d’expériences autour des synergies d’acteurs, de territoires et d’action publique qui permettent d’inscrire des initiatives du secteur artistique et culturel rhônalpin dans le champ et les valeurs de l’économie sociale et solidaire (E.S.S.).

    L’objectif de cette rencontre est de rassembler les acteurs, les élu-e-s, les collectivités, les citoyen-ne-s et des chercheur-euse-s convaincu-e-s de la nécessité de renforcer les démarches de co-construction des politiques publiques de la culture, en vue de poser les termes d’une réflexion collective pérenne dans notre région, sous l’œil contributif de grands témoins comme Patrick Viveret (philosophe) et Philippe Berthelot (Président de l’UFISC).

    L’après-midi et la fin de journée seront largement ouverts aux élus et aux acteurs de la culture et de l’ESS. Venez nombreux !

    Vous trouverez ci-joint le programme de l’après-midi.

    Vous pouvez le diffuser largement !

            L’événement Facebook est disponible à cette adresse, vous pouvez y « participer », puis « inviter vos amis » !

            Le programme (fichier ci-joint et téléchargeable en ligne ici)

            L’inscription grand public en ligne se fait à cette adresse

     

    ESS + culture

  6. Vallée de la Drôme et économie de proximité

    Cyril Kretzschmar rencontrera les élus locaux et les acteurs de l’économie de proximitédans la Vallée de la Drôme le vendredi 19 avril.

    Le matin, il échangera avec les élus locaux au sein du comité de pilotage du CDDRA Contrat de Développement Durable Rhône-Alpes Vallée de la Drôme, sur l’économie de proximité (à la Mairie de Crest)

    A partir de 14h30, il visitera plusieurs entreprises du Jardin des Artisans de l’Ecosite Val de Drôme (à Eurre) : rencontre avec M. Divani (construction bois, RV à 14h30 en ses locaux) et MM Ribeyre et/ou Fargier  de Label Energie (fournisseurs de matériels chaudière / énergies renouvelables RV à 15h15 en leurs locaux).

    A 16h, il visitera la pépinière d’entreprises du Val de Drôme (à Eurre) et  échangera avec les entreprises hébergées  (6 entreprises parmi les 8 hébergées seront présentes)

    A 17h30, il visitera le magasin de producteurs de la Ferme des Volonteux (sortie de Beaumont les valence, direction Montmeyran), qui a bénéficié d’un soutien régional via Idéclic Solidaire Projet (dispositif de soutien au développement des projets d’Economie sociale et solidiaire en Rhône-Alpes).

  7. Métiers de l’économie verte en Rhône-Alpes : le 2ème numéro de la note du PRAO est en ligne !

    Au sommaire de cette nouvelle note d’actualité

    – le 1er bilan des actions de sensibilisation en Rhône-Alpes des formateurs à l’amélioration énergétique des bâtiments
    – un focus sur le nouveau site Internet dédié aux métiers de la chimie
    – un zoom sur la filière du bois
    – les conférences liées au développement durable lors du dernier Mondial des Métiers

  8. Concours de l’idée sociale et solidaire

    Participez au concours de l’idée sociale et solidaire et venez présenter votre projet à l’occasion du Salon des entrepreneurs le 13 juin 2013 à Lyon !

    Des idées plein la tête !
    Envie de créer votre entreprise ?
    Une idée innovante dans le secteur de l’économie sociale et solidaire ?
    Révélez l’entrepreneur qui est en vous !

    Concours de l’idée sociale et solidaire
    Entreprendre autrement, ça change tout !

    La Région Rhône-Alpes vous propose de participer à  la 2ème édition du Concours de l’idée sociale et solidaire dans le cadre du Salon des Entrepreneurs Lyon Rhône-Alpes les 12 et 13 juin 2013.

    Les inscriptions sont ouvertes du 1er avril au 24 mai 2013 alors n’attendez plus et participez en remplissant le formulaire ci-dessous !

    10 candidats seront sélectionnés pour venir présenter leurs projets devant un jury le jeudi 13 juin 2013 au Centre de Congrès à Lyon. Vous serez informés du résultat de cette présélection à partir du 3 juin 2013 sachant que les projets porteurs d’innovation sociale pour le territoire rhônealpin seront privilégiés.

    A vos plumes et vos claviers !

    Ce concours est organisé en partenariat avec : UREI, Rhône-Alpes Solidaires, CRESS Rhône-Alpes / URSCOP, Rhône-Alpes Active, Réseau Entreprendre, Alter’incub.

     

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